Voici un des paradoxes du Web 2.0 … et pas des moindres.

Héritage social

Nous sommes tous d’accord aujourd’hui pour dire que le Web 2.0 est héritier du Web social. Il contribue à créer des liens entre les personnes, à faciliter l’interaction, la collaboration. Beaucoup de ces usages que le Web 1.0 ne parvenait à dynamiser sont maintenant enviageables dans nos développements et donc dès demain matin dans nos sites … si ce n’est pas déjà le cas.

Autonomie

La web’agora, cet espace public où nous aimons passer le plus clair de notre temps (je parle des web’addictes), est maintenant motorisable par une « plateforme autonome » comme l’explique Eric van der Vlist. Fini le temps des développements dépendants de tel ou tel composant matériel ou logiciel, dépendants des quelques technologies admises par l’hébergeur … Avec n’importe quelle machine du type « ordinateur pourvu d’un navigateur récent », il est possible d’accéder à l’intégralité de la toile. Pour mémoire, si nous détaillons un peu les briques techniques du Web 2.0, il suffit au navigateur de savoir interpréter : (x)html, css, xml et javascript (c’est le kit de survie Ajax).

Paradoxe apparant

Ainsi, c’est parce que la plateforme est autonome que les hommes n’ont jamais été aussi proches !