Voici une suite logique à ma première page publiée la semaine dernière. Je vous propose de poursuivre avec le mot Dieu que nous déclinons ici aux génitif, datif et ablatif singulier : Ա(ստուածո)յ notons qu’ici la finale « յ » est en majuscule « Յ », ce qui est normal puisque les lettres gravées sont pratiquement toujours des onciales (majuscules).
a) Mur de l’église de Geghard
b) et c) Mur de l’église sainte Hripsimé à Etchmiadzin
d) Tympan de l’église sainte Astvatsatsin à Noravank
Le badiv est très lisible au-dessus des deux lettres aip et hi. Sa forme, assez rudimentaire en a), s’arrondit en b) et c). En d), le badiv est particulièrement ornementé.