Le Web 2.0 n’est pas encore complètement stabilisé, balisé, voire banalisé. Le nombre d’acteurs concernés n’a jamais été aussi grand et il ne cesse de croître. Leurs besoins, leurs attentes et leurs exigences sont supérieures à celles du Web 1.0. Souvent, ses utilisateurs ne savent pas faire la différence entre le premier web et le ce web qu’on dit 2.0.

Les risques et les facteurs de succès sont à l’aune de cette croissance. Ce que j’aborderai dans deux prochains posts, l’un sur les risques, l’autre sur les facteurs de succès.