Web 2.0 : un Web sous influences ?

Une des caractéristiques du Web est d’être ouvert à tous les vents. S’il est un espace techniquement disponible et accessible de façon aisée à tout le monde, il est aussi ouvert à toutes les expressions … et c’est là que les difficultés commencent.

Comme je l’écrivais il y a quelques jours, Mc Clelland, dans sa théorisation du besoin de réalisation, remarque avec justesse que beaucoup d’individus passent l’essentiel de leur temps à réfléchir à l’influence et au contrôle qu’ils ont sur les autres. Vous en connaissez tous, pas vrai ?

Tous les politiciens sont blogomanes, les responsables de communication, les journalistes, … rédigent ou font rédigéer des pages de carnets web (en anglais, blog) … le lobbying est passé au lobbying 2.0 mais on assiste aussi à de nouveaux détournements ou manipulations.

Usages détournés du blog

Vous avez peut-être lu tout récemment cet article du Monde qui nous raccomptait que le constructeur japonais SONY avait fait créer un faux blog pour faire la promotion de sa console PSP. Deux bloggers Charlie et Pete étaient sensés l’avoir créé sous le nom suggestif de « alliwantforxmasisapsp » (en français, cela donne quelque chose comme « tout ce que je veux pour Noël c’est une PSP »). Mais tout était bidon, c’est une agence de communication qui était derrière.

Comme vous vous en doutez, ce n’est pas la première fois. Un nom existe donc déjà pour qualifier ces bidonnages, ce sont des « flogs », mot-valise contractant « fake » (faux) et blog.

Usages détournés du wiki

Les équipes Wikipédia sont obligées depuis un certain temps de restreindre l’accès à certaines pages de la web’encyclopédie. En effet, des groupes extrémistes ou sectaires en modifent régulièrement le contenu.

Usages détournés des sites sociaux

En Amérique, des entreprises se mettent au « buzz » en créant des profils personnels et en recrutant des amis. Elles pervertissent des sites comme YouTube ou MySpace.

Des sociétés comme PayPerPost ont été créées chez l’Oncle Sam dans le but de payer les blogueurs qui acceptent de vanter des produits ou des services dans leur blog personnel. PayPerPost recommande à ces blogeurs de mentionner le fait qu’ils sont payés … Hum ! à suivre. Ce n’est pas très clair. Est-ce qu’on va continuer à lire de la même façon un blog commercialement dépendant et un blog non commercial ?

Qu’elle la suite que le Web donnera à cet usage marketing ?


Noël arménien

Le Noël arménien est décalé de 13 jours par rapport à celui des catholiques et des protestants. C’est donc le 6 janvier. L’Eglise apostolique d’Arménie, que l’on appelle aussi Eglise Arménienne ou Eglise apostolique, n’a pas adopté le calendrier introduit par le pape Grégoire XIII en 1582. Elle a conservé le calendrier julien.

Voici quelques éclaircissements …

En 45 av. Jésus Christ, Jules César impose un calendrier avec en moyenne 365.25 jours, c’est ainsi que se définit l’année julienne. Mais comme les jours de la vraie vie ne sont pas fractionnables, on opta pour que tous les 4 ans il y ait une année avec un jour de plus.

La science des astronomes progressant, ils furent plusieurs siècles plus tard en mesure de calculer l’année solaire avec plus de précision et parvinrent au résultat suivant : 365,2422 jours. Ils proposèrent d’en tenir compte à l’aide d’un calendrier adoptant une année moyenne de 365,2425 jours. Cela s’obtiendrait concrètement ainsi : toute année divisible par 4 est bissextile sauf les années séculaires qui ne sont bissextiles que si elles sont divisibles par 400.

Le pape Grégoire XIII décréta l’adoption dans le monde catholique romain en 1582 de ce calendrier qui prit son nom : calendrier Grégorien. Peu à peu, il fut adopté et appliqué dans d’autres pays.

Le calendrier julien retardant d’environ 3 jours tous les 4 siècles par rapport au soleil, lorsque Rome adopta le calendrier grégorien en 1582, on décida de rattraper 10 jours de retard sur le soleil. Cela fut fait en passant sans transition du jeudi 4 octobre au vendredi 15 octobre 1582.

Cela eut aussi pour conséquence de décaler les calendriers julien et grégorien de 10 jours à cette date. Depuis, le décalage s’est creusé d’un jour supplémentaire en 1700, en 1800 et en 1900. Le calendrier julien retarde donc maintenant de 13 jours sur son homologue grégorien.


Le bruit du Web 2.0 : les nouveaux usages pour une recherche pertinente …

Comme je l’écrivais hier, on peut pratiquement définir le web caché comme étant celui qui échappe aux moteurs de recherche. En effet, même s’ils sont très efficaces, ils n’indexent qu’une petite partie du Web.

En plus, ils ne sont pas à jour immédiatement et il faut parfois attendre très longtemps (plusieurs jours) avant que les précieuses pages recherchées émergent. Et nous savons bien que cette apparition n’a rien de miraculeux … ce serait plutôt un business.

La pertinence selon les moteurs de recherche actuels

Elle dépend de :

  • Critères statistiques mais ne sont pas porteurs de sens
  • Des mots clés rencontrés, pas de la phrase
    • on ne tient pas compte des mots « creux »
    • on s’attache à toutes les occurences différentes des mots (non au groupe flexion)
    • on ne tient pas compte de l’ordre des mots
  • Position relative du mot dans la page, pas dans le texte
    • c’est un titre
    • il est dans le premier quart
  • Indice de popularité
    • c’est le « PageRank » de Google (voir la note en bas)
  • Méta-données
  • et bien sûr du facteur économique
    • Positionnement et référencement payant

Avec l’avénement du Web 2.0, on l’a bien vu, les outils de création de contenu se sont multipliés, ils sont devenus tellement plus faciles d’emploi … que le nombre de rédacteurs augmente plus vite que celui des lecteurs, déjà élevés par ailleurs. Bref, lorsqu’on cherche une information avec un moteur de recherche, on a de plus en plus de réponses. Globalement, l’ensemble des réponses est de plus en plus bruité … de moins en moins pertinent. Et si la loi de Cole était vraie !

Par exemple, considérons le bloging ce phénomène de société (même moi je m’y suis mis) dont les moteurs tiennent déjà le plus grand compte. Comme une forte tendance des blogs est de relayé les petits potins entre copins, une autre d’être plus des chambres d’écho des buzz du moment que des lieux d’une réelle création éditoriale, on sent bien que plus il y aura de Web 2.0 plus il y aura du bruit sur la toile ;-)

Tant que les moteurs de recherche seront sensibles aux statistiques, les agiteurs de la blogosphère qui n’ont rien à dire continueront de causer dans le poste ! et les moteurs seront dans le brouillard.

Emergence de nouvelles stratégies de recherche

Alors il faudra bien en sortir. Déjà des usages mutent. La prise de conscience du Web caché avait déjà eu pour incidence pour pousser les bonnes pratiques suivantes :

D’autres usages se développent. Par exemple, le social-bookmarking est une de ces pratiques. del.icio.us est le site paradigmatique de cette voie du favori pertinent. En offrant la possibilité de créer des réseaux de personnes, il augmente encore le caractère social de son dispositif. J’ai choisi de motoriser mon blog avec WordPress en lisant del.icio.us !

Un autre usage : la folksonomy. C’est un mot-valise issu de la contraction des mots folks ( »les gens » en français) et taxonomy ( »taxinomie » en français, la science du classement ou le système de classification hiérarchisés). Il s’agit d’une méthode de classification collaborative de contenus Web à l’aide de tags. Réalisée par une communauté d’internautes, son but est de proposer une alternative subjective et sensible aux moteurs automatiques pour faciliter la recherche et l’identification des contenus. Quelques exemples : Technorati pour classer les billets publiés sur les blogs, Flickr pour les photos et del.icio.us pour les favoris …

Et dans la vraie vie ?

Au bureau, je vois progressivement des collègues changer de page Internet par défaut. Ils avaient massivement opté pour Google … maintenant, on trouve del.icio.uc ou netvibes ou …

Et vous ?

Note : PageRank

Le PageRank est un terme anglais qui peut se traduire par « rang de page ». Cet indice de popularité, conçu par Larry Page, est calculé pour toute page Web et est utilisé par le moteur de recherche Google classer les résultats.

Note : Qui sont Larry Page et Sergey Brin ?

Larry Page (né en 1973) et Sergey Mikhaïlovitch Brin (né aussi en 1973) sont les fondateurs du site et du moteur de recherche Google. Le premier est américain, le second est d’origine russe.


Web 2.0 : Fin du consumérisme 1.0 ?

Les utilisateurs ne se contentent plus d’être des consommateurs. C’est une douce révolution mais c’est une révolution quand même. Voilà qu’ils

  • produisent
    • des contenus
    • des réseaux relationnels
    • des outils (tags, folksonomies) pour s’orienter dans cette masse de contenus
  • co-développent des outils informatiques,
  • s’entraident,
  • se conseillent,
  • s’évaluent,
  • créent des espaces
    • d’expression,
    • de jeux,
    • de travail aussi !

L’internet de l’information est en train de muter en internet de la relation. Il deviendrait le support de l’activité professionnelle, sociale et personnelle de l’individu ?


Web caché … la profondeur du puits

Caché

En France, nous appelons « web invisible » ou « web caché » ce que les grands bretons et assimilés appellent « deep web » ou « hidden web ».

Cela désigne la partie du web qui est non accessible aux moteurs de recherche classiques et à Google en particulier puisque que c’est le moteur préféré des internautes.

Qu’est-ce qu’on nous cache ?

Il y a encore peu de temps, tout ce que Google ne savait pas indexé était quasi automatiquement caché. Le web invisible comprend par exemple des bases de données, des banques de données et des bibliothèques en ligne gratuites ou payante…

Typologie du cryptoweb

Les chercheurs Chris Sherman et Gary Price ont établi 4 types de web caché. C’est assez éclairant (si je peux m’exprimer ainsi !)

1 – Le Web opaque

Il comprend les pages qui pourraient être indexées par les moteurs mais qui ne le sont pas (limitation d’indexation du nombre de pages d’un site, fréquence d’indexation, liens absents vers des pages ne permettant donc pas un crawling)

2 – Le Web privé

Toutes les pages disponibles mais volontairement exclues (mot de passe, metatags ou fichiers dans la page pour que le robot du moteur ne l’indexe pas) font partie de cette portion de web.

3 – Le Web propriétaire

On trouve là les pages seulement accessibles pour les personnes qui s’identifient (pas d’accès pour robot).

4 – Le web vraiment invisible

Son contenu est non indexé pour des raisons tout simplement techniques. Par exemple, le format est inconnu par le moteur, les pages sont générées dynamiquement …

La profondeur du puits

Selon des estimations, la taille du web caché varie beaucoup et il est donc difficile de faire un chiffrage. Les meilleurs moteurs n’indexeraient que 3 à 10% du web. Mais comment vérifier cela ?


Web 2.0 : de l’autonomie et du web social à la fois !

Voici un des paradoxes du Web 2.0 … et pas des moindres.

Héritage social

Nous sommes tous d’accord aujourd’hui pour dire que le Web 2.0 est héritier du Web social. Il contribue à créer des liens entre les personnes, à faciliter l’interaction, la collaboration. Beaucoup de ces usages que le Web 1.0 ne parvenait à dynamiser sont maintenant enviageables dans nos développements et donc dès demain matin dans nos sites … si ce n’est pas déjà le cas.

Autonomie

La web’agora, cet espace public où nous aimons passer le plus clair de notre temps (je parle des web’addictes), est maintenant motorisable par une « plateforme autonome » comme l’explique Eric van der Vlist. Fini le temps des développements dépendants de tel ou tel composant matériel ou logiciel, dépendants des quelques technologies admises par l’hébergeur … Avec n’importe quelle machine du type « ordinateur pourvu d’un navigateur récent », il est possible d’accéder à l’intégralité de la toile. Pour mémoire, si nous détaillons un peu les briques techniques du Web 2.0, il suffit au navigateur de savoir interpréter : (x)html, css, xml et javascript (c’est le kit de survie Ajax).

Paradoxe apparant

Ainsi, c’est parce que la plateforme est autonome que les hommes n’ont jamais été aussi proches !


Web 2.0 et accomplissement

Mc Clelland énonce sa théorie du besoin de réalisation en 1961.

Il cherchait à expliciter ce qu’implique l’accomplissement. Il a proposé de le décomposer en 3 besoins ou facteurs d’impulsion fondamentaux. Pour y parvenir, il s’est appuyé sur des mesures faites à partir du Thematic Apperception Test (il s’agit d’un test projectif).

Le besoin d’accomplissement ou de réalisation

Il est présent chez les individus réfléchissant sur le sens  de leur vie, sur ce qu’elles vont en faire, sur les bonnes stratégies pour y parvenir. La lecture Web 2.0 de ce besoin est claire. Les techno du Web s’étant beaucoup simplifiées, il est tellement plus facile de créer maintenant.

Le besoin de pouvoir ou d’influence

Il caractérise les individus qui passent l’essentiel de leur temps à réfléchir à l’influence et au contrôle qu’ils ont sur les autres. On le rencontre chez les responsables politiques, mais aussi maintenant chez des personnes ou des groupes web’influents. La lecture Web 2.0 est immédiate ;-)

Le besoin d’affiliation

Les personnes qui souhaitent le satisfaire sont celles qui passent une bonne partie de leurs temps à réfléchir sur la façon de développer des relations amicales avec les autres membres de l’organisation. Pour combler ce besoin, elles nouent des relations. Transposé en Web 2.0, cela nous conduit sur les forums, les wikis, les blogs, tous les lieux d’interaction devenus si nombreux.

Voilà peut-être pourquoi nos politiques sont tellement web’actifs depuis quelques temps !!! Le Web n’est-il pas devenu la nouvelle agora de notre monde ?

Qui est Mc Clelland ?

David McClelland est un psychologue américain. Il est professeur à l’université Harvard entre la fin des années 1960 et le début de 1970. Il est fondateur de la firme Hay-McBer. Son article Testing for Competence Rather than for Intelligence, paru en 1973 dans American Psychologist, est une contribution majeure. Les psychologues avaient recours aux tests pour mesurer l’intelligence. Avec Mc Clelland, on va maintenant mesurer les compétences ! La différence est considérable.


La loi de Brooks : Retard sur projet logiciel

Ajouter des ressources à un projet déjà en retard, le retardera encore.

L’opinion de Brooks est que les difficultés de réalisation des logiciels se divisent en difficultés accidentelles (langages de programmation et systèmes laborieux et malaisés à utiliser) et en difficultés essentielles (inhérentes à la production de logiciels). Or, selon lui, les difficultés accidentelles ont déjà été en grande partie éliminées, par exemple par l’adoption de langages de haut niveau; il n’y aura donc pas dans le futur de nouveaux progrès permettant de gains importants de productivité.

Il cite ensuite un certain nombre de technologies présentées comme devant révolutionner l’industrie logicielle (le langage Ada, la programmation orientée objet, etc.) et explique que si ces technologies permettent encore de diminuer les difficultés accidentelles de la programmation, elles ne peuvent pas pour autant supprimer les difficultés essentielles.

Le proverbe souvent cité pour exprimer cette idée est « Neuf femmes ne font pas un enfant en un mois ».

Qui est Brooks ?

Frederick Brooks (né le 19 avril 1931) a été chef de projet du OS/360, l’un des projets les plus chers et ayant pris un des plus important retard de l’histoire de l’informatique (cela faillit mettre en difficulté considérable la société IBM). Grace au pilotage de Brooks, IBM a pu livrer l’un des ordinateurs les plus performants qui soient.

En 1999, Brooks a reçu le prix Turing pour ses contributions en « architecture des ordinateurs, systèmes d’exploitation et logiciels ». Il est aussi connu pour son livre « Le Mythe du mois-homme ». Cet ouvrage raconte son expérience du développement informatique, basée sur le développement d’OS/360.


La base de données bibliographiques arméniennes de la SEA

Si vous cherchez un livre sur un sujet en lien avec les langues ancienne ou moderne de l’Arménie, son histoire, sa culture et encore bien d’autres thèmes arménologiques, la Société des Etudes Arméniennes a mis à votre disposition une base de données que vous pouvez consulter ici. Ce projet de bibliographie arménologique internationale dynamique en ligne a reçu le nom du monastère d’Amaras. Ce monastère a été fondé au IVe siècle par saint Grégoire l’IIuminateur. Il est l’un des plus vieux monuments chrétiens. Mesrop Machtots y a ouvert la première école arménienne.

Vous pouvez ici accéder en français, en anglais ou en allemand avec un compte invité. Vous pourrez consulter la base, vous pourrez aussi y contribuer en remplissant une nouvelle fiche (saisie).


Hiérarchie de Maslow : Web 2.0, un Web plus motivant

La théorie de la hiérarchisation des besoins de Maslow permet d’expliquer la motivation par une pyramide des besoins constituée de cinq niveaux.

Par ordre de satisfaction des besoins, il y a d’abord trois niveaux inférieurs :

  • besoins physiologiques,
  • besoins de sécurité,
  • besoins sociaux

et deux niveaux supérieurs :

  • besoins d’estime,
  • besoins de réalisation de soi.

Pyramide de Maslow

Très utilisée en marketing (approche du positionnement des produits ou services), elle est aussi pertinente lorsqu’il s’agit d’analyser des pratiques et des usages. En segmentant la question initiale en cinq approches thématiques précises, il est plus facile d’analyser la motivation.

Si nous appliquons cette théorie aux différences entre le Web 1.0 et le Web 2.0, il me semble que c’est ce dernier qui ressort gagnant, en d’autres termes, qui est le plus motivant. Le Web 2.0 satisfait spécifiquement 3 besoins sur 5, ceux de niveaux supérieurs.

Besoins physiologiques

Le web ne répond pas à priori à ces besoins ;-)

Besoins de sécurité

Le web est un lieu où on se sent en sécurité. On se déplace partout dans le vaste monde virtuel sans sortir de chez soi !

Besoins sociaux

Le Web 2.0 a cet avantage sur le Web 1.0 d’offrir beaucoup plus de possibilités de sociabilité. Il favorise la création et l’appartenance à des communautés, les services d’échanges entre internautes, … Il permet à chacun de pouvoir participer aux forums, de donner son avis sur un article, … (Cf. la loi de Metcalfe et son corrolaire).

Besoins d’estime

Plus que le Web 1.0, le Web 2.0 permet à l’internaute de sortir de l’anonymat, de faire valoir ses réalisations. La course à l’audience sur le Web … vous savez le compteur en bas de page et tous ses avatars qui permettent de vérifier qu’on est lu et reconnu sur la toile. Le référencement « à la papa » est en train d’évoluer à tel point que cela inquiète même les institutionnels qui observent que de nouveaux pouvoirs émergent. Il se crée de nouveaux réseaux qui peuvent devenir vite très efficaces … vous pouvez aller par exemple du côté des buzz pour vous en convaincre. Ce besoin d’estime est décidément très Web 2.0.

Besoins de réalisation de soi

Avec le Web 2.0 l’internaute peut publier son blog, son wiki. Il peut aussi participer à des grands projets (encyclopédies, développements, …). Avec le Web 1.0, l’internaute n’était souvent qu’un spectateur, un consommateur.

Qui est Maslow ?

Abraham Maslow (1908-1970) est un psychologue américain d’origine russe. Il est essentiellement connu pour ses travaux sur les motivations de l’homme.


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