Wiki, ma boîte à outils

  1. Comment choisir son moteur de Wiki ?
  2. Quelles fonctionnalités lui ajouter ?
  3. Comment mesurer son audience ?
  4. Comment importer des articles ?
  5. Comment récupérer des articles pour les injecter dans un autre Wiki ?
  6. etc.

Bref, le Wiki est mûr, c’est sûr et c’est dur de trouver les bonnes réponses à tant de questions. Alors, voici quelques liens utiles. Car, comme on dit chez Cisco « Don’t worry, it’s on the Web ! »

Choix de moteurs

  • WikiMatrix : comparateur (actuellement 81 moteurs différents)
  • WikiPedia : tableau comparatif (lecture difficile, ergo -)

Liste de moteurs

  • C2.com : triée par langage de programmation du moteur
  • WikiPedia : triée par socle technologique sousjacent

Top 10 de moteurs

  • C2.com : le top 10 du site historique

Fonctionnalités complémentaires

L’ajout de fonctionnalités complémentaires dépend du moteur et de son socle technologique. Si certains moteurs sont particulièrement riches en plug-in ou add-on prêts à l’installation (par exemple : MediaWiki), d’autres ne proposent rien. En tout cas, la présence d’un socle technologique performant permet d’envisager des développements complémentaires (par exemple : développement en PHP, base de données SQL).

Un Wiki « de base » est très rudimentaire. Il est très vite nécessaire de pouvoir répondre aux utilisateurs qui auront trouvé l’herbe plus verte chez les voisins et vous le feront savoir bien vite … Dis, tu ne pourrais pas ajouter une fonctionnalité pour faire des sondages ? Et puis, est-ce que tu n’aurais aussi la possibilité de nous montrer l’audience de nos pages ?

Outils complémentaires

  • WikiPedia : liste spéficique pour MediaWiki triée par catégorie d’outils

Wiki d’entreprise

Sans avoir la prétention de couvrir ce sujet, nous pouvons indiquer quelques truismes. Pour qu’un Wiki puisse être retenu comme une solution crédible dans une entreprise, il doit répondre à un certain nombre d’exigences parmi lesquelles :

Catalogues

Les catalogues de Wiki permettent de juger par l’exemple de la valeur de tel ou tel moteur.


Blog, comment j’ai choisi mon moteur

Quand j’ai souhaité ouvrir ce blog, la question technologique n’était pas la moindre : quel moteur allais-je choisir et selon quels critères ? Alors, premier réflex (conditionné), je demande à Google. Faites le test … avec une recherche sur « blog ». La réponse de Google est éloquante : de la pub, de la pub et du bruit. Alors, je me reprends et je tente « choisir un moteur de blog ». C’est là que les choses ont effectivement changé.

En effet, j’ai trouvé des blogs et j’ai commencé à lire ce que des blogers avaient écrit. J’ai par exemple lu le blog de Claire Bernier

Au lieu du mode « Google et ses algorithmes de search », je suis passé au « réseau social des blogueurs ». Il y a comme un glissement de la pertinence … Le web est envahi, submergé. Les modalités de recherche classiques ne sont plus pertinentes.

Après avoir lu des pages de blogs, je suis passé à des articles de wiki … Bref, c’est en passant par le Web 2.0 que j’ai trouvé une grande quantité d’avis autorisés sur le sujet. J’ai encore fait appel à un site de comparaison très bien fait weblogmatrix. Ce comparateur m’a notamment quel moteur était le plus comparé aux autres …

J’hésitais encore entre 2 ou 3 moteurs. J’ai alors pris l’option suivante : choisir le moteur le plus utilisé parmi les plus récents. Cela m’a donné : WordPress.

Il me restait à vérifier par la pratique. Je n’ai pas été déçu : il est très facile à installer, une très bonne version française est disponible, les fonctionnalités sont remarquables, l’administration très solide … Les styles de présentation comme les plugins sont très nombreux. Bref, je ne peux que vous le recommander.

Ah oui, j’allais oublié … WordPress est gratuit !


Web 2.0, comment exister ?

Besoin de référencement ?

Le référencement est un sujet qui nous touche tous un jour ou l’autre. Nous écrivons des pages et des pages et nous aimerions bien être lu, recevoir des commentaires ou des contributions de bonne qualité … Il y a beaucoup de raisons pour vouloir exister sur le Web, pour vouloir être repéré. Alors comment faire ?

Acheter une place au soleil

Si la fortune est avec nous, nous pouvons faire comme les grandes sociétés et acheter aux enchères des mots précieux chez Google ou chez un autre motoriste de recherche Web 1.0. Nous pouvons aussi louer les services d’agence de référencement qui savent y faire. Bref, avec de l’argent, nous tenons là une première solution.

Mais attention, ce n’est pas parce qu’on est enfin visible qu’on le sera éternellement. il faut entretenir cette visibilité acquise. Et donc payer une rente.

Se faire remarquer

Une autre voie est celle de la pertinence, nettement plus délicate. Ai-je quelque chose à dire et est-ce intelligent ? Si un moteur de recherche indexe ce contenu pertinent, il y a des chances pour qu’il puisse émerger naturellement … C’est tout de même très hasardeux et faut donc aider un peu la nature.

Aider la nature

Une des meilleure façon est le coup de pouce. Vous demandez à un ou plusieurs sites déjà bien en vue de parler de vous en mettant des liens bien placés. Vous pouvez aussi bien travailler votre présentation, les mots que vous mettez dans vos pages, les méta tag, le nom de domaine de votre site … Tous ces bons conseils ne manquent sur Internet.

Et le Web 2.0 ?

Ce que nous venons de raconter est très Web 1.0. Dans le Web 2.0, le référencement doit être en partie repensé. D’abord les pages du Web 2.0 ne sont plus techniquement faites comme celles du Web 1.0. Ensuite, de nouveaux outils sont apparus et leurs pratiques diffèrent. Quels éléments pour mieux situer la question :

  • Une même page Web 2.0 peut être localement modifiée (utilisation d’Ajax et de la fonction XMLHttpRequest) plusieurs fois et être l’équivalent de nombreuses pages Web 1.0. Et pourtant, pour le référencement, une seule sera prise en compte.
  • Tout au partie des pages peut être modifié par des modifications de style (manipulation de CSS en Ajax). Une division (div) peut être cachée. Pourtant le moteur de recherche pourra l’avoir indexée.
  • L’engouement pour les blogs et toute sorte d’autres outils suscite de plus en plus de création de contenu dans le Web. Quand on recherche de l’information pertinente, les stratégies évoluent. Pour ne pas avoir à fouiller trop longtemps dans les listes de plus en plus longues de résultats de Google, nous en venons à développer de nouvelles stratégies de recherche d’informations. Par exemple, on abandonne le célèbre moteur et on cherche dans Wikipedia.

Bref, pour exister sur le nouveau Web 2.0, il faut exister au sens du premier et ajouter du spécifiquement Web 2.0. Le travail à entreprendre est donc de détecter tous les lieux où cela se joue. A suivre …


La loi d’Amdahl : Gain de performance

Cette loi se rapporte au gain de performance qu’on peut attendre d’un ordinateur en améliorant une composante de sa performance. Sous sa forme générale, elle indique que le gain de performance égale le temps d’exécution d’une tâche complète sans l’amélioration divisé par le temps d’exécution de la même tâche avec l’amélioration.

Avons-nous déjà calculé ce gain dans nos projets web 2.0 afin de les quantifier ? Cela nous donnerait-il pas le moyen de fournir des données tangibles, puisque numériques, aux détracteurs de la 2e toile ?

Qui est Amdhal ?

Gene Myron Amdahl (né le 16 novembre 1922), américain d’origine norvégienne, est un architecte d’ordinateur et un entrepreneur de pointe, principalement connus pour son travail sur les ordinateurs centraux chez IBM et plus tard dans ses propres compagnies, particulièrement Amdahl Corporation créée en 1970.


Web 2.0, ergonomie et esthétique

Le déplacement des usages en entraîne d’autres …

Les usages évoluent parce que la technique nous facilite la mise en oeuvre de telle ou telle fonctionnalité ou combinaison de focntionnalités. Nous assistons donc avec beaucoup d’intérêt à la maturation d’un premier Web. Accompagnant ces usages qui ne demandaient qu’à se libérer, nous voyons aussi des changements dans l’ergonomie et dans l’esthétique des sites.

L’utilisation de framework Ajax ouvre une nouvelle souplesse, une nouvelle interactivité. La page n’est plus rafraîchie globalement mais localement, avec parcimonie ! Avec un Web plus économe, nous tenons un filon qui mérité vraiment d’être exploité. Déjà les hommes du réseau ont fait leur calcul … ce serait entre 30 et 70% de la bande passante qui serait libérée. C’est donc de la puissance en plus, des données en plus …

Souplesse

L’exemple paradigmatique est Google Maps. Vous localisez un coin de la planète, et pendant que vous le regardez, des échanges entre votre navigateur et les serveurs de Google vous préparent en mémoire, dans votre PC, tout le voisinage auquel vous voudrez certainement accéder. La souplesse est obtenue une anticipation qui tient compte des suites probables de ce qui fait actuellement.

Interactivité

Ne plus avoir à attendre une fin de saisie de tout un formulaire pour en déclencher la validation sur le serveur est un bouleversement pour les utilisateurs. A la fin de la saisie d’une zone ou d’un ensemble de zones, des traitements locaux peuvent être réalisés. On passe ainsi à une interactivité plus fine et pouvant répondre « sur le champ » à une erreur de saisie.

Rapidité

De ne plus avoir à répondre au niveau de la page, mais de pouvoir agir au plus tôt et localement, permet de fractionner les traitements à faire sur une page. Ils deviennent plus courts et sont déclenchés progressivement, au rythme de l’avancée de l’internaute dans la page. C’est peut-être la même puissance qui est consommée, mais ce n’est plus en une fois avec un utilisateur qui s’impatiente.

En ayant soin de bien découper ce qui se joue au sein d’une page complexe, l’attente en fin de page peut globalement disparaître dans la somme de petites attentes (dont certaines sont peut-être même anticipables). C’est comme si l’attente Web 2.0 était soluble dans la page ;-)

Ergonomie et esthétique

Fréquemment, j’ai constaté qu’il y avait une confusion entre les termes ergonomie et esthétique (celle exprimée dans les chartes graphiques). Il n’est pas rare que l’ergonomie soit traitée dans la charte graphique des entreprises à la façon d’un mal nécessaire par lequel il faut bien passé. C’est dommage à plus d’un titre.

Tout d’abord, l’ergonomie est une saine préoccupation, c’est le cas de le dire. On a tous remarqué, par exemple, que les ascenceurs haorizontaux sont calamiteux. Il fatigue le bras dans un effort perpendiculaire de celui habituel que l’on fait avec une souris, ils ne sont pas facilement utilisables (manque d’équivalent), ils signifient aussi qu’une partie de la page n’est visible et qu’il faut aller la voir avant de passer la ligne et qu’à chaque ligne il faudra faire cet aller / retour … Bref, l’horreur !

Sécurité et esthétique

Le plus beau mélange dans cet autre mélange des genres. Imaginer un peu la situation suivante, pour faire pro, on décide de placer dans une page un grigri qui a tous les aspects extérieurs d’un dispositif de sécurité. Alors, on se dit chouette, voilà un site sérieux … Et puis, vous apprenez plus tard qu’en fait c’était de la décoration … Transposons avec cet exemple : des poutres métaliques doivent être démontées. Sur ces poutres, il y a plein de gros boulons apparents sur les cotés et en dessous. Vous demandez que la poutre soit démontée … Les ouvriers commencent par ôter les boulots de côtés et au dernier … la poutre tombe alors qu’il reste tous ceux du dessous. Vous apprenez alors que ces derniers boulots étaient là pour faire beau.

Esthétique

A côté de l’ergonomie repensée avec la prise en compte des technologies sousjacentes du Web 2.0, il y a l’immense champ de l’esthétique. Les feuilles de style en cascade, les fameuses CSS, sont omniprésentes. Composantes centrales d’Ajax, de plus en plus parfaitement respectées par les navigateurs de toute facture, elles permettent de réaliser des petits bijoux.

Vous ne croyez pas que certains développeurs Web 2.0 sont des artistes authentiques ?


Wiki, des catégories d’usages

A la maturité du wiki répondent des usages qui maintenant se fixent progressivement. Des catégories très nettes se dessinent. Pour chacune, je donne quelques exemples.

  • Usage personnel
    • système d’information personnel
  • Usage ludique
    • Jeux
    • Rédaction à plusieurs d’un livre, d’une histoire
  • Usage commercial
    • achats en ligne, commentaires et notes sur les produits
    • guide d’achats, comparateurs
    • catalogue en ligne avec commentaires des clients
    • juridique, informations et droit des consommateurs
  • Usage professionnel
    • espace de travail collaboratif
    • formations
    • base de contact
    • télétravail
  • Usage social
    • associatif
    • citoyen, débats, élections
    • communautaire
    • foules intelligentes, encyclopédies

Pour que les wikis vivent, c’est-à-dire, pour qu’on y trouve un intérêt, il faut réussir à motiver leurs contributeurs. Tous ces usages ont bien en commun cette même question : quelles sont les conditions pour que ça marche ?

Conditions pour des usages professionnels

La formation est la première des conditions, cela va de soi ? Pas si sûr. Souvent, le wiki commence avec une expérimentation puis un service … Même si on y va progressivement, il ne faut pas négliger de former les futurs utilisateurs. Cela a notamment pour effet de manifester l’intérêt que l’entreprise porte à cet outil puisse qu’elle investit.

Deuxièmement, il faut préparer le lancement du wiki. Certes, l’installation est très facile et on peut l’utiliser tel quel. Mais, c’est tout de même mieux avec un petit travail de localisation, avec une charte graphique suivie, avec un premier contenu intéressant et des mots wiki laissés en appel de contribution.

La troisième condition est de mettre en place une animation continue du wiki. En effet, ça ne marche pas tout seul. Il faut susciter la participation, la valoriser, modérer, sanctionner aussi quand il y a des débordements.

La suivante et non la moindre est la gestion du contenu. Il s’agit de réorganiser de temps en temps une ou plusieurs parties en fusionnant des pages ou en découpant des articles trop longs. Il faudra aussi parfois supprimer des morceaux devenus obsolètes.

Et puis n’oublions pas qu’un wiki professionnel doit respecter les règles de l’administration des systèmes. Les utilisateurs ont des comptes, des droits. Il entre ou quitte l’entreprise.


La loi de Nacchio : Gateway IP

Le nombre de ports et le prix par port d’une gateway IP respectent la loi de Moore.

Cela signifie plus clairement que tous les 18 mois, pour le même prix, on a deux fois plus de ports dans les gateway IP. Cette loi intéresse beaucoup le secteur des télécommunications. En effet, la diminution du prix des gateways IP est essentielle pour permettre à la voix sur IP de devenir toujours plus banale.

Qui est Nacchio ?

Joseph Nacchio a été le président de la société Qwest Communications International Inc. Il avait commencé chez AT&T.


Wiki, l’histoire commence il y a 12 ans

Le wiki a été inventé par Ward Cunningham en 1995, alors qu’internet a seulement 4 ans. Alors, faut-il faire remonter à 1995 le début du Web 2.0 ;-)

Ward utilise le mot « wiki » qui vient du terme hawaiien wiki wiki (rapide, informel) pour appeler une partie d’un site sur la programmation informatique qu’il a appelé WikiWikiWeb.

Le 15 janvier 2001, l’une des plus grosses réussites du Wiki naissait dans sa version anglaise, très vite suivie le 23 mars de la version française : wikipedia. Le 24 novembre 2006, la version anglaise dépassait le cap des 1.500.000 articles publiés. Le 12 novembre 2006, la version chinoise atteignait le seuil des 100.000. A suivre …

Malgré une étonnante maturité des concepts, des moteurs et des utilisateurs, le wiki semble pourtant ne pas bien prendre au sein de l’entreprise française. Les états-uniens et les grands bretons sont très en avance. J’aborderai la question des usages de ce remarquable outil.

Qui est Ward Cunningham ?

Né en 1949, cet informaticien a théorisé une méthodologie de développement, l’Extreme Programming, et une technique d’organisation, les Méthodes Agiles. Mais aujourd’hui, peut-être est-il encore plus célèbre pour avoir conçu le wiki ?


Et si on parlait du Web 0.0

Quel est le problème ?

Bon, je vois que vous pensez que je bourdonne (NDLR : buzz = bourbonnement) avec un Web de plus ! En plus, ce serait un proto Web, ou peut-être un vétéro Web … Non, vous n’y êtes pas. Ce Web là ne veut pas qu’on le débusque. C’est le Web qui veut rester caché.

La semaine dernière, je vous avais parlé du Web caché, mais c’était du Web naturellement caché. Ici, il en va tout autrement. Car pour se cacher du Web quand on y est exposé, il faut certainement déployer encore plus d’énergie que pour un bon référencement. Retourner ou rester dans le Web 0.0 peut être bien plus compliqué que d’émerger dans le Web 2.0 ;-)

Ce que n’est pas le Web 0.0

On peut certainement gloser autour de ce Web là. Certains blogueurs entendent par Web 0.0 :

  • l’internet de la fracture numérique, celui des absents du Web pour raison de manque de moyen
  • ou celui des technophobes

Cela ne semble pas être la bonne approche. Certes, il y a là de la réalité humaine et sociale. Mais, je crois que le syntagme Web 0.0 doit dénommer un « non Web » volontaire.

Quel est le besoin auquel répond le Web 0.0 ?

Alors que tout le monde publie et se rend visible dans la Blogosphère, ou plus largement dans la logosphère, il y a des sociétés, des personnes, des communautés, des officines, des agences qui paient très cher leur absence du Web. Vous demandez à tous les moteurs de recherche … et rien, rien de rien.

Quelques astuces pour se cacher

– le déréférencement

Vous avez parfois observé que certains moteurs gardaient des liens vers des pages qui n’existent plus mais dont le moteur garde pendant longtemps, trop longtemps un reflet en cache. Les moteurs proposent normalement des solutions. Par exemple, Google peut abandonner l’indexation de pages de site lorsque la demande est faite par le webmestre (règle nécessaire pour garantir que les pages ne sont pas supprimées par erreur ou selon des critères arbitraires).

Pour faire « disparaître » un site, il faut placer un fichier robots.txt au niveau racine/root du serveur. En plaçant la bonne commande dans ce fichier, le tour sera joué :

User-Agent: *
Disallow: /

Ce fichier destiné aux robots permet plein d’autre chose. Mais, il faut ajouter qu’une disparition, ça prend du temps. Chez Google, il faut compter 6 à 8 semaines, d’après ce qu’il affiche dans la doc.

– l’anonymat

Tout ce qui précèdent ne vaut que pour déréfencer un site dont on est le responsable. Mais les affaires se corsent quand on s’attaque à ceux qui parlent de vous et que vous voudrez faire taire. Alors comment passer dans la clandestinité ?

Vous ne souhaitez pas que l’on parle de vous. En France, avec la CNIL, vous avez vos chances. Oui mais une fois de l’autre côté des frontières ?


Web 2.0 – Quand l’idée n’a pas trouvé son public …

Comme en son temps pour lors de la grande première vague Internet, où tant et tant de personnes se sont lancées avec une idée en se disant « pourquoi pas moi », la seconde vague fait phosphorer beaucoup de monde. La lecture des journaux et des blogs est riche de ces nouvelles idées qui vont révolutionner l’univers.

Alors, quand je suis tombé sur Techcrunch, un blog techno, j’ai été très intéressé par ce qu’il a regroupé dans sa rubrique TERMINUS. On y lit des articles sur des initiaves qui ont avortées, qui n’ont pas réussies, qui n’ont pas trouvé leur public, etc. C’est fait avec une pointe humour, notamment en fin d’article avec des formules comme :

  • Et notre catégorie TERMINUS s’aggrandit
  • Dommage, il s’agissait d’un bon service mais peut être que quelqu’un sera intéressé par sa reprise et le faire vivre à nouveau.
  • Qui sera le prochain ?

Le premier article était publié le 4 juin 2006. Il concluait : « Nous anticipons que d’autres services du web vont inévitablement disparaître. (…) Espérons que nous n’aurons pas trop à l’utiliser. »

Je note que cette conclusion parle de « services du web ». C’est peut-être bien là le problème, les initiatives qui ont fini au Terminus étaient-elles des services attendus … ou alors il y avait une très forte concurrence qui a tout dégagé autour d’elle.

Avez-vous repéré d’autres blogs qui s’intéressent aux idées qui n’ont pas trouvé leur public ?


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